doudoune moncler Les sanctions imposées
Lors d'une cérémonie retransmise en direct par la télévision d'Etat IRIB TV, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a ouvert les ports du complexe de Yellowcake Shahid Rezaeenejad dans la ville d'Ardakan.Le Yellowcake est un concentré d'uranium. Il s'agit d'une poudre grossière qui représente une étape intermédiaire dans le procédé d'obtention de combustible nucléaire.A l'occasion de cette cérémonie, qui marque aussi la Journée nationale iranienne de la technologie nucléaire, M. Ahmadinejad a indiqué que le pays avait réalisé de tels progrès malgré les pressions politiques et les sanctions de ses ennemis.Mardi, la République islamique a également lancé le complexe d'uranium Saghand, dans la province de Yazd. Cet établissement est destiné à l'extraction d'uranium à 350 mètres de profondeur sous la terre. moncler pas cher femme
L'agence de presse officielle IRNA avait rapporté lundi que l'uranium extrait serait transformé en Yellowcake au complexe de Shahid Rezaeenejad.Le 6 avril le Ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a eu une conversation au téléphone avec le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, et il a exprimé sa forte inquiétude face à la situation de tension actuelle dans la péninsule coréenne, et insisté sur le fait qu'il ne fallait pas créer de problèmes aux portes de la Chine.S'agissant de la situation de plus en plus tendue dans la péninsule coréenne, l'angle de départ étant la paix et la stabilité régionales, ainsi que la protection des intérêts nationaux de la Chine, il est nécessaire d'avertir les parties en présence dans la péninsule : La Corée du Nord ne doit pas se méprendre sur la situation.La Corée du Nord a sans doute de nombreuses raisons de renforcer son armement et sa technologie, et elle a des préoccupations légitimes relatives à sa propre sécurité nationale, mais ce n'est pas une raison pour violer des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU en se livrant à des essais nucléaires et utiliser la technologie des missiles balistiques pour faire monter la tension dans la péninsule depuis l'année dernière ; à cet égard, la Corée du Nord ne saurait se dérober à ses responsabilités. La RPDC a ses propres conditions nationales spécifiques, ses propres besoins politiques, ses propres options politiques et son propre style de langage politique ; ce sont les affaires intérieures de la Corée du Nord dans lesquelles nul n'a le droit de s'immiscer. Mais si les paroles et les actes de la Corée du Nord aggravent les problèmes dans la péninsule, et affectent la paix et la stabilité dans la région, cela deviendra un problème international, ce qui ne correspond pas aux conceptions de la Corée du Nord, et l'évolution de la situation dans la péninsule ne suivra alors pas nécessairement les idées et les attentes de développement de la Corée du Nord.Les Etats-Unis ne doivent pas envenimer la situationLa volonté américaine de s'appuyer sur les résolutions du Conseil de sécurité des Nations-Unies pour traiter la situation dans la péninsule coréenne, notamment en ce qui concerne la non-prolifération nucléaire et la sécurité, est motivée par des préoccupations légitimes, mais imposer des sanctions unilatérales contre la RPDC allant au-delà des résolutions des Nations Unies ne ferait que renforcer la pression et serait contre-productif. doudoune moncler Les sanctions imposées depuis des dizaines d'années par les Etats-Unis contre la RPDC, qui ont accru l'isolement de cette dernière, sont aussi l'une des causes profondes de la tension dans la péninsule coréenne. Les Etats-Unis, dont la puissance nationale et militaire actuelle est bien supérieure à celle de la Corée du Nord, sont en position de force ; toute tentative de montrer leur force ne fera qu'accroître la tension dans la péninsule.[1] [2]La République populaire démocratique de Corée RPDC est à l'origine des cyberattaques du 20 mars qui ont endommagé les ordinateurs et paralysé les réseaux informatiques de banques et de médias sud-coréens, rapporte ce mercredi l'agence de presse sud-coréenne Yonhap.Selon un responsable du gouvernement cité par l'agence Yonhap, l'enquête a montré que la Direction générale du renseignement de la RPDC avait créé des codes malveillants qu'elle avait ensuite introduits sur les réseaux informatiques sud-coréens ciblés en utilisant un accès détourné.Les sociétés sud-coréennes victimes de ces piratages sont les trois banques Nonghyup, Shinhan et Jeju, ainsi que les trois groupes audiovisuels KBS, MBC et YTN.Le gouvernement sud-coréen a prévu d'annoncer les résultats de son enquête officielle plus tard dans la journée.Les inspecteurs de l'Organisation des Nations Unies ONU sont prêts à déployer une mission en Syrie en 24 heures pour enquêter sur les attaques d'armes chimiques présumées dans le pays, a déclaré lundi le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon. doudoune moncler pas cher femme
Au cours d'une conférence de presse au siège de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques OIAC à La Haye, M. Ban a déclaré : "Je peux annoncer aujourd'hui qu'une équipe en avance est maintenant à Chypre, la dernière étape avant le départ de la mission vers la Syrie"."Tout ce que nous attendons, c'est le feu vert du gouvernement syrien pour une enquête approfondie", a-t-il dit, ajoutant que "cette mission a été sollicitée par le gouvernement syrien".Ban Ki-moon a déclaré que les Nations Unies sont encore impliquées dans des négociations "techniques et juridiques" avec la Syrie au sujet du déploiement de l'équipe d'enquête.Le chef de l'ONU a déclaré que les gouvernements de la Syrie, de la France et du Royaume-Uni ont présenté des allégations avec des informations fournies à l'ONU à propos des attaques d'armes chimiques en Syrie."Toutes les demandes doivent être examinées sans délai, sans conditions et sans exceptions", a-t-il ajouté.Ban Ki-moon est arrivé aux Pays-Bas pour le troisième examen de la Convention sur les armes chimiques, et ses deux jours de visite prennent fin lundi.